• Projet Pegasus : l'enquête française sur le logiciel espion confiée à un juge d'instruction

    L'enquête portera sur de nombreuses infractions potentielles, dont l'atteinte à la vie privée, a annoncé le parquet de Paris. En juillet 2021, une enquête de presse avait révélé cette vaste affaire d'espionnage via le logiciel Pegasus.

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  • Projet Pegasus : des experts de l'ONU demandent un moratoire sur la vente de logiciels espions

    "De telles pratiques (…) sapent la démocratie, la paix, la sécurité et la coopération internationale", assurent les Nations unies dans un communiqué.

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  • Projet Pegasus: 17 journalistes rejoignent la plainte déposée par Reporters sans frontières, qui a saisi l'ONU

    Originaires d'Azerbaïdjan, du Mexique, d'Inde, d'Espagne, de Hongrie, du Maroc et du Togo, ces journalistes "savent ou ont des raisons sérieuses de craindre d'avoir été espionnés par leur gouvernement".

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  • « Projet Pegasus » : l’exécutif se mure dans le silence malgré le ciblage d’Emmanuel Macron par le Maroc

    Le gouvernement se refuse à accabler publiquement Rabat, qui a ciblé les téléphones du chef de l’Etat et de quinze ministres. Le président a assuré au conseil des ministres avoir demandé des « explications » au royaume, ainsi qu’à Israël.

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  • Projet Pegasus.

    Malgré un conseil de défense,

    la France se mure dans le silence

     

     

    Quatre jours après les premières révélations du scandale d'espionnage, Emmanuel Macron a convoqué, jeudi, une réunion au sommet, sans toutefois s’exprimer dans la foulée.

     

    Le gouvernement français décide enfin de réagir.

     

    Après plusieurs jours de flottement, le président de la République a tenu, jeudi 22 juillet, « un conseil de défense exceptionnel dédié à l’affaire Pegasus et à la question de la cybersécurité », a annoncé aux premières heures de la matinée Gabriel Attal.

    Le porte-parole du gouvernement affirme d’ailleurs qu’Emmanuel Macron « suit au plus près ce dossier et prend cette affaire très au sérieux ».

    Il faut dire qu’un de ses numéros, tout comme ceux de son ancien chef de gouvernement, Édouard Philippe, et de quatorze ministres font partie du listing susceptible d’avoir été espionné par le royaume du Maroc, via le logiciel Pegasus de l’entreprise israélienne NSO Group.

     

    L’exécutif temporise

    Néanmoins, à l’heure où nous écrivions ces lignes, aucune déclaration n’a été faite à l’issue de ce conseil de défense.

    Un silence qui illustre un peu plus l’embarras du gouvernement.

    La veille, déjà, Jean Castex avait fait le choix de temporiser.

    « Je crois qu’il serait irresponsable de notre part de dire des choses tant que nous ne savons pas exactement ce qu’il en est », affirmait le premier ministre. 

    Par prudence, et avant les résultats des expertises, Emmanuel Macron a changé de téléphone ainsi que de numéro, tout en exigeant un renforcement des protocoles de sécurité, a fait savoir l’Élysée.

     

    Depuis plusieurs jours, l’exécutif se contente de répéter qu’il attend les résultats des investigations en cours.

    « Cette enquête ne dit pas si ses téléphones (ceux du président – NDLR) ont été tous effectivement infectés, si des données en ont été “retirées” ! » a encore martelé Gabriel Attal, jeudi matin.

    « L’Agence nationale de sécurité des systèmes d’information a commencé à proposer aux personnes qui pourraient avoir été ciblées par une attaque un accompagnement technique », a précisé le porte-parole à l’issue du Conseil.

     

    La gêne est d’autant plus palpable que le Maroc, malgré la répression qu’il mène contre ses opposants, est un partenaire de la France dans divers domaines, allant de la lutte antiterroriste à la gestion des flux migratoires subsahariens.

    Mais l’absence de répliques politiques et diplomatiques prévaut également à l’égard du gouvernement israélien, dont l’aval était nécessaire à toute commercialisation du logiciel de NSO Group.


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  • " On voit apparaître des logiques contre-insurrectionnelles,

    c'est-à-dire une surveillance massive de la population

    de façon à détecter les perturbateurs, afin de les neutraliser.

    Tout en maintenant la majorité silencieuse. "

     

    Avec le logiciel espion Pegasus,

     

    "tout le monde pourrait être une cible,

    c'est ça qui est effrayant"

    Le "projet Pegasus" est-il le plus gros scandale d'espionnage depuis les révélations d'Edward Snowden à propos de la NSA ?

    Réponse avec Asma Mhalla, spécialiste des enjeux de surveillance.

     

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    Projet Pegasus :

    l'entourage du Dalaï Lama apparaît dans le listing du logiciel espion

    Le Projet Pegasus conduit par Forbidden Stories avec ses partenaires, dont la cellule investigation de Radio France, a établi que l’Inde a ciblé l’entourage du Dalaï Lama avec le logiciel espion de NSO.

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  • Affaire Pegasus :

    l’exécutif s’en tient au mutisme

     

    Jeudi 22 Juillet 2021
     

    Face au scandale d’espionnage,

    Jean Castex juge urgent d’attendre avant toute réaction.

     

    Moins d’une minute, c’est le temps accordé à l’affaire Pegasus par le premier ministre Jean Castex, sur le plateau de TF1 mercredi.

    Avant même la liste des entreprises concernées, le consortium de médias coordonnés par Forbidden Stories a pourtant révélé mardi que, outre des journalistes français, ce sont les téléphones de députés, d’une quinzaine de ministres, de l’ancien chef du gouvernement Édouard Philippe et même du président de la République qui figurent parmi ceux potentiellement espionnés, à la demande des autorités marocaines, par le logiciel de la société israélienne NSO Group.

    Mais l’exécutif, qui entretient des relations de complaisance avec le régime monarchique, a choisi de temporiser.

     

    « Gravité potentielle »

    « Je crois qu’il serait irresponsable de notre part de dire des choses tant que nous ne savons pas exactement ce qu’il en est et les mesures éventuelles que cette situation pourrait appeler », a estimé Jean Castex, assurant que « le président de la République lui-même a évidemment ordonné toute une série d’investigations ».

     

    L’hôte de Matignon a jugé nécessaire de « regarder ça de très près précisément, compte tenu de la gravité potentielle », évoquant « la réalité, le degré de la fameuse infection ».

    Les téléphones des ressortissants français concernés, notamment ceux de l’exécutif, n’ont pas tous été analysés, il n’en demeure pas moins qu’ils sont inscrits sur la liste des cibles potentielles.

    Sans compter que l’examen du mobile de l’ex-ministre François de Rugy a, selon le Monde, révélé les traces d’une étape préliminaire à une attaque de Pegasus.

     

    Certains parlementaires ont décidé de déposer plainte, à l’instar de l’ex-marcheur Cédric Villani ou de l’insoumis Adrien Quatennens, qui dénonce “une attaque d’État à État”.

     

    Si le député LaREM Gilles Le Gendre respecte la consigne de silence:

      « Je dénonce l’extrême gravité de cet espionnage (…). À ce stade, rien de plus à en dire », a-t-il twitté –,

    son collègue François de Rugy a, lui, annoncé sa volonté de « saisir le procureur de la République » et de demander « audience à l’ambassadeur du Maroc en France pour avoir des explications ».

    D’autres parlementaires ont décidé de déposer plainte, à l’instar de l’ex-marcheur Cédric Villani ou de l’insoumis Adrien Quatennens, qui dénonce « une attaque d’État à État ».

    « Si les faits sont avérés, ils sont d’une extrême gravité », s’est à son tour contenté de répéter, devant le Sénat, Jean-Yves Le Drian, interpellé par le communiste Pierre Ouzoulias sur la paralysie de l’exécutif.

    Le ministre a précisé que « lorsque nous aurons toute la clarté, le gouvernement s’exprimera devant la représentation nationale ».

     

    À la suite de la plainte de plusieurs médias et journalistes, le parquet de Paris a d’ores et déjà ouvert une enquête.

     

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    22 juillet 2021

    « Projet Pegasus » : 

    Macron convoque un conseil de défense « exceptionnel »

    L’un des téléphones du président de la République avait été sélectionné par un service de sécurité du Maroc, pour une éventuelle mise sous surveillance par le logiciel espion.

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    « Projet Pegasus » :

    face aux dénégations de NSO Group et du Maroc,

    « Le Monde » maintient ses informations

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  • Projet Pegasus :

    logiciel espion israélien, journalistes et chefs d'Etat ciblés...

    Ce que l'on sait de l'affaire de cybersurveillance mondiale

    Plusieurs Etats sont accusés d'avoir eu recours à un logiciel espion israélien pour cibler des journalistes, opposants mais aussi membres de gouvernement et chefs d'Etat. 

    France Info >>>>>


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  • Projet Pegasus :

    le parquet de Paris ouvre une enquête

    après une plainte de Mediapart,

    dont des journalistes ont été ciblés par le logiciel espion

    Une enquête d’un consortium de journalistes a révélé que deux journalistes de Mediapart ont été ciblés par le Maroc, grâce au logiciel de surveillance Pegasus.

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  • Projet Pegasus : Macron parmi les cibles du Maroc

    Rabat a sélectionné le numéro du chef de l’État français en 2019 pour une possible infection de son téléphone avec le logiciel Pegasus, comme le révèlent les informations de Forbidden Stories et de ses 16 partenaires, dont la cellule investigation de Radio France.

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